L'apprentissage continu.

Dremed vit son professeur partir dehors en courant, il savait certainement où se trouvait le temple du dieu de la guerre et de la stratégie militaire.
Dremed aussi le savait d'ailleurs tous les paladins de Khornettoh étaient au courant de son emplacement, soudain le doute s'empara de l'apprentie paladin, devait-il allait dans le sanctuaire ou dans le temple ?
Le temple se trouvait en ville alors que le sanctuaire était placé dans la forêt maudite de Shlipak.
Il prit donc une ruelle s'y faufila et continua son ascension de la ville en gardant le regard sur son professeur qui se trouvait dans les rues principales, pour ne pas le quitter des yeux il se mettait chaque foi à un coin de rue et attendait que celui-ci en pris une autre. Puis ils arrivèrent à la sortie de la ville, après être passé chacun par la grande porte gardé de la haute ville, il sut que son professeur ce dirigé vers le sanctuaire.
Ce dernier pris un cheval qui l'attendait avec un garçon d'écurie pour le tenir ce dernier donna les reines du cheval à Bohuslav, celui-ci donna un coup de talon à l'animal qui parti en direction de la forêt de Shlipak au galop en passant par la route.
Dremed quand à lui examina attentivement ses propres moyens et ses possibilités, il compta ses pièces, pas asse pour louer une monture, dans les enclos des montures se trouvait un cheval noir et asse grand pour lui, du côté opposé un tas de foin.
Une idée germa dans l'esprit du prêtre-guerrier, il sorti son briquet et fit le tour afin de ne croiser personne tout en s'assurant que personne ne le voyait, il alla au tas de foin et fit fonctionner son briquet pour enflammer la paille.
Quelques étincelles jaillirent et commencèrent à enflammer le tas dans lequel une fumée blanche naquit, avant que qui que ce soit ne le voit, sur les lieux, Dremed parti, le plus discrètement possible et cria:

«Au feu ! Au feu ! Trouvez des sceaux pour éteindre l'incendie.»

Puis il mit sa capuche sur sa tête et regarda tous les jeunes écuyers et garçon d'écurie traverser l'enclos, avec un sceau chacun.
Dremed profita de l'absence de surveillance pour prendre l'étalon couleur de jais et fuir avec en le faisant sauter les barrières de l'enclos, pour aller le plus loin possible de Waldorg. Il venait de réussir un nouveau vol, encore, il se dit qu'une foi la chasse à l'homme à laquelle il était le gibier serait fini, alors seulement à ce moment il pourrait enfin être tranquille.
Malheureusement pour lui la fin était très très lointaine.

Au sortir des alentours de la ville il fut bien loin des regards et arriva en une plaine presque désertique, si ce n'est les animaux plus ou moins agressifs ou inoffensifs de la région.
Il continua son voyage à cru au dos du cheval qui lui parut beaucoup moins confortable ainsi, puis il croisa un troupeau d'auroch et ce demanda s'il pouvait prendre son cuir pour s'en faire une selle, peut être moins confortable qu'une vraie, mais au moins plus confortable que sa situation actuelle, mais en même temps son maitre aurait certainement plus d'avance que lui. Mais tout de même faire plusieurs jours de voyages ainsi, le fatiguerait trop pour les prochaines épreuves qui l'attendent.
Il s'approcha donc du troupeau d'auroch après avoir correctement attaché l'animal volé, il prit son marteau dans son dos et s'avança peu à peu vers l'une des bêtes les moins résistantes dont un asse vieux, il lui parut malade et il en choisit un autre, l'un été blessé, il continua à avancer vers celui-ci en retrait à l'arrière du troupeau.
Arrivant derrière la bête face au vent elle ne sentirait pas son odeur et il s'avança juste assé pour asséner un coup fatal sur la nuque de la créature.
Cette dernière ce retourna brusquement et poussa un beuglement avant de charger son adversaire encapuchonné.
Dremed tenta tout de même son attaque, mais celle-ci fut dévié et tomba sur une partie plus dure de la peau de cuir de l'animal. La bête ce sentant menacé eut une réaction plus agressive que le paladin du dieu sanglant n'avait pas prévu et d'un coup de tête fit tomber l'humain à terre, il se releva au plus vite pour éviter l'attaque suivante et fut poussé par l'épaule de l'animal, il tomba encore à terre et sa masse à quelques pas plus loin.
Une nouvelle foi la bête chargea Dremed qui fonça sur son marteau, le brandit et frappa au moment où la créature animal était à portée. Celle-ci tomba au sol le marteau coincé dans la nuque, Dremed retira sa masse de la carcasse d'auroch et vit le troupeau foncer sur lui, il se mit à courut dans la direction inverse au groupe de bovin. Il courut et détacha au plus vite sa monture pour fuir cette armée de la nature et après quelque centaine de mètre le troupeau abandonna sa poursuite et s'en alla au loin, le prêtre-guerrier revint vers la dépouille de l'auroch lui arracha les crocs, de la viande et son cuir pour faire avec la corde qu'il utilisait pour attacher son cheval à l'instant même et commença son travail avec un petit couteau de cuisine, il fut satisfait de son travail et posa cette selle de fortune sur le dos de l'animal et l'attacha.
Il se remit en route vers la forêt de Shlipak et à la nuit tombée sans autre soucis arriva au milieu des plaines de Kwzprtt. Il continua encore pendant environ une heure avant d'arriver à un petit étang dont l'eau claire reflétée nettement la lune dans son cadre de noirceur et de points lumineux. Il attacha son cheval à un arbuste prêt de l'étang afin que celui-ci puis s'abreuver et lui laissa asse de corde pour se coucher dans le besoin.
Il se coucha sous sa cape pour se tenir chaud en comptant sur le fait que le cheval, s'il prenait peur, le réveillerait d'un hennissement.
Puis il fut bercé par Dlul.
Il se trouvait au beau milieu d'un champ de bataille, des elfes et des hommes se battaient de toute part tandis qu'un plus puissant que les autres chez les hommes se voyaient affligé d'un maléfice alors qu'un nombre incalculable d'elfe noir tirèrent chacun une flèche transperçant le sorcier elfe. A présent mort, il tomba sur le sol et le chef des humains et des elfes noirs amorça une transformation.
Il ce réveilla dans les ténèbres de la nuit son cheval venait de pousser un terrible hennissement, le soleil pointait son premier rayon sur la Terre de Fangh, toujours étant quelque chose venait de réveiller sa monture et il chercha des yeux son marteau, il aperçut alors une créature toute petite de la taille de ses deux mains en train d'éloigner son marteau et une autre essayant de couper la corde retenant le cheval noir de jais. Dremed fonça sur celui qui tenait le couteau et l'envoya valser à deux mètres de là où il se tenait précédemment, puis il attrapa sa masse des mains de l'autre créature, il récupéra son couteau et détacha la monture pour y poser la selle. Les deux petites créatures le suivirent et essayèrent de lui donner des coups de pieds. L'humain resta quelques instants à s'intéresser aux petits êtres, il monta sur son cheval volé la veille et parti au galop sans voire que les créatures humanoïdes s'étaient accrochées aux jambes du canasson.
Il fit une partie du trajet toute la matinée à un rythme soutenu pour arriver à l'heure du déjeuné, son ventre sonna celle-ci et il sortit un reste de viande de l'auroch.
Il réfléchit quelques instants, son professeur ne devait pas arriver au temple avant demain s'il avait emprunté la route comme il le pensé. Il pouvait y arriver ce soir s'il forcé un peu sa monture.
Il remonta sur le cheval après l'avoir une foi encore détaché et avoir une nouvelle foi remit la selle en place. Il repartit donc et vint le moment où il arriva à un pont à quelque kilomètre de Glargh.
Des buissons qui entouraient le pont sortirent trois brigands armés de dagues qui lui demandèrent:

«La bourse ou la vie !»

«Ouais allé le pognon plus vite que ça ! Et la monture aussi.»

«Hé Hé»

Dremed descendit de cheval, s'approcha des trois mécréants et sorti son lourd marteau, il regarda les individus un à un, une lueur rouge vint briller dans son regard seul le second brigand ayant parlé s'adressa sur le ton de la plaisanterie:

« Hey les gars du barbecue de sorcier ce soir.»

Puis les deux autres reculèrent tandis que le prêtre-guerrier s'avançait, le gros brigand, le second, continué de singer ce qui donnait de plus en plus de rire de la part des deux autres et de plus en plus de rouge de la part des yeux de Dremed. Ce dernier fit le pas qui le rapprocha asse avec son allonge pour donner un coup puissant, mais pas trop histoire de ne pas le blesser outre mesure en guise d'avertissement, le malfrat ce plia en deux et tomba à genou, pendant ce temps-là les deux autres commencèrent à réfléchirent à la possibilité du niveau de dangerosité de leur métier, mais ils ne bougèrent pas puis ils virent dans l'œil rougeoyant du paladin une scène de carnage avant que celui-ci disent d'une voix peu rassurante:

«Ramassez votre ami et repartez cueillir vos choux dans vos fermes sinon le prochain coup sera mortel.»

Les deux hommes s'exécutèrent et partirent leur ami sur leurs épaules en direction des champs entourant Glargh. Puis il remonta sur son cheval regarda l'emplacement du soleil et dit:

«Et bien ils m'auront fait perdre du temps ces trois-là.»

Il reparti en sifflotant une chanson dont les paroles vulgaires ne valent pas d'être entendu, trop violentes, et en fin de journée il arriva dans la Forêt maudite. Il observa les alentour et remarqua à plusieurs reprises les lieux de repèrent pour arriver au sanctuaire. En arrivant au lieu où il devait rencontrer son professeur Dremed resta devant l'entrée attacha son étalon et fini les restes de viande d'auroch. Il se demanda si son professeur avait fait tout le trajet par la route ou en coupant par les champs et les plaines, il verrait cela demain.

Tadamm ! Voila le professeur tant attendu ! Hem... Vous avez tous lu, sisi, ne mentez pas, et vous savez que Dremed planta méchamment Gwennaall... à Waldorg.

EH bien Gwennaall ne reste pas comme ça, les bras ballants... Il utilise le Désorganiseur eeet... le voila qui rapplique dans les fourrés...

Allez, c'est parti, première prise !

Gwennaall atterrit dans le bois juste à côté du sanctuaire de Kornettoh. Discrètement. Pour une fois. Juste avant que le vrai professeur, Bohuslav, ne sorte de la forêt, en surprenant son élève apprenti paladin de Kornettoh par derrière.

"Hem... Je te pensais plus rapide... Et tu as dormi, en plus... Sache que, quand je prends la route, ce n'est que pour te tromper, et te faire croire que j'arriverai plus tard. Enfin ce n'est pas grave, tu es arrivé assez vite pour gagner ma gratitude. Tu t'en sors bien."

Le professeur s'arrêta de parler un instant, et poursuivi en fixant l'élève au niveau de ses plaies :

"Ah, je vois que tu as été ralenti... Excuse-moi de t'avoir fait prendre ce danger inutile. Mais de toute façon c'est infime par rapport à ce que tu vas voir... et vivre, dans le sanctuaire."

Le professeur s'assit à côté de l'homme encapuchonné, assis lui aussi.

"Je te laisse te reposer autant de temps que tu veux, mais préviens-moi quand tu es prêt... et nous partirons. Le sanctuaire n'est pas gardé mais... attention aux pièges tout-de-même... garde bien en tête ce conseil pendant toute cette aventure..."

*Haha, tu peux bien essayer de lui inculquer tes méthodes, mais sache qu'aucun paladin ne peut apprendre à un autre à servir Kornettoh... à part un fier serviteur de Kornettoh lui-même !*

[Tu es maintenant en mode aventure, et je doute que tu puisses décider de la réussite de tes actions... Et comme dé, fais confiance à Excel, parce que j'ai pas de D10 ni de D100...]

Dremed salua son professeur et lui répondit à toutes ces phrases:

"Je suis pret"

Sur ces mots il se releva, les jambes un peu engourdis, après l'humidité de la nuit dernière Dremed se sentait mouillé.
Il avança en direction du sanctuaire et inspecta la porte avant d'essayer d'entrer en tournant la poignée si poigné il y avait.

Alors alors... Tu examines la porte... On va dire que t'es pas très observateur, mais que t'es quand même pas un aveugle... Par pure chance, tu remarques une fléchette empoisonnée, que tu arrives à actionner et à ne pas te faire planter dans le torse.

Voyons la porte... Elle est sans poignée, c'est juste un grand rond qui coulisse... Mais il y a sûrement quelque chose dans les environs pour pouvoir l'ouvrir...

Ton professeur est derrière toi, et évite la flèche, comme s'il savait que ce piège était là. Il ne dit rien, mais semble vouloir t'indiquer qu'il faut chercher derrière...

Pendant ce temps, Gwennaall s'inquiète de voir que tu as failli tomber dans le piège... Il veut quand même que tu arrives au fond...

[Ici, tu vas pouvoir poser des questions en le faisant en gras, à mon intention. Par exemple comment est la porte ?, sauf que tu le sais déjà ^^...

Bon là, à toi de trouver, j'attends pas des miracles, pas tout de suite ]

Dremed se mit en quête de trouver un levier pour actionner le coulicement de la porte sinon il devra la faire coulisser par la force de ses seuls muscles.

Tu te tournes pour regarder dans les environs, voir si tu trouves un truc pour ouvrir la porte, mais rien n'indique que c'est un levier...

Dé : 8 ! Pas mal...

Tu marches un peu vers une direction en observant un peu le tour. Tu ne vois rien, mais tu marches sur une branche sèche, qui était en fait le moyen d'ouvrir la porte.

Elle coulisse rapidement, laissant un grand trou béant, laissant donc entrer n'importe qui voulant pénétrer dans le sanctuaire.

Que fais-tu ?

à combien de metre de la porte le systéme pour l'ouvrire ce trouve ?

Mon maitre m'accompagnerez vous ?

Tout en disant cela il rentra en regardant bien si piège il y avait

Le dispositif d'ouverture est à à peu près quatre mètres, mais vu qu'il est actionné, tu n'as plus besoin de t'en soucier.

"Oui, je t'accompagne, mais je préférerais que tu passes devant, pour m'assurer que tu fasses bien ce qu'il faut faire..."

*Et moi je vous accompagne, mais loin derrière... Allez rentrez, rentrez...*

Tu rentres en faisant une détection des pièges...

Dé : 3 ! Réussite presque critique !

Mais pas de bol, cet endroit n'était pas piégé. Surtout parce que je suis magnanime... Et qu'il n'y a pas de raison de mettre deux pièges à la suite...

Tu avances donc prudemment, et tu tombes sur une intersection, avec un escalier qui part en bas, c'est noir et tu ne vois rien. A ta droite part un couloir, plutôt sombre aussi, mais tu remarques deux torches allumées le long du mur.

Que fais-tu ?

Dremed tenta de voir sur les torches un quelconque mécanisme, piège, ouverture pour passage secret.
Si rien ne ce passe il prendrais une torche et s'engoufrerait dans les tréfonds du sanctuaire.
Pour descendre l'escalier il observerait correctement les marches avant de poser son pied dessus.

Hem... Il n'y a rien sur les torches... C'était juste pour savoir si tu en prenais une ou non... Apparemment oui, donc t'es capable de voir si on te tend une perche, c'est bien.

Tu t'engouffres donc dans l'escalier. Il fait sombre, tu ne sais pas où tu vas. Mais en regardant les marches...

Dé : 13...

Sachant qu'il fait noir, tu ne vois pas si c'est piégé ou non, mais tu avances... On va faire un jet, on va dire que tu as 50% de chances d'avoir un piège... Si tu as 10,k je te l'épargne, au dessus... C'est le piège :

Dé : 3 !

Tu ne détectes pas de piège, c'est donc rassurant. Et il n'y en a pas. Encore plus rassurant. Tu arrives en bas du colimaçon, car il n'est pas infini. Ton professeur te suit, tu l'entends juste derrière toi, et ton ombre flotte sur le mur grâce à sa torche.

En arrivant en bas, tu tombes sur une porte en bois, classique. Il n'y a pas de serrure, pas de bouton, juste une poignée rouillée.

Par derrière, tu penses que c'est ton professeur, mais tu entends un caillou qui tombe...

Que fais-tu ?

Et plus haut, Gwennaall pense tout bas :

*Oula merde, il faut que je fasse attention à ne pas me faire repérer...*

Dremed au son du caillou dégaine son arme et jete vite fait un oeil derrière lui pour voir et etre rassuré, puis il prend son l'ourd marteau et tente, à bout de bras, de tourner la poignée avec le bout du marteau à deux mains. Si la porte ne s'ouvre pas il regardera au dessus de la porte pour voir si il y a quelque chose puis par terre et enfin sur les murs et ensuite s'il n'y a rien il donnera un grand coup dans la porte pour l'ouvrire.

Tu ne remarques rien au son du caillou, tu as juste des doutes quant à quelqu'un qui pourrait te suivre (Oui bah j'ai décidé comme ça, un dé ne changera rien, NA !).

Cependant, ton attention se re...porte sur la... porte (haha). Tu baisses la poignée et... rien ne se passe de spécial à part que la porte s'ouvre.

Tu découvres... une pièce. Mais plongée dans le noir. Tu ne vois absolument rien, à part tes propres pieds, sinon tu n'as aucune idée de la grandeur de la pièce à part qu'elle est immense : à part la lumière de ta torche qui se reflète sur le sol, elle n'est pas assez puissante pour éclairer les murs, ou le plafond.

Que fais-tu à ce moment ?

j'essaye d'envoyer la torche à trois metres de moi. Pour voir s'il y a des pièges.

(Mortel la blague haha)

(Merci pour le lèchage de bottes... T'auras le droit à un bon jet de dés...)

Bon bah... On va dire qu'en lançant ta torche, et ne voyant rien, t'es pas très doué. Ouais parce que quand le dé n'est pas sympa, j'peux pas faire grand chose.

Quelque chose prend feu juste en face de toi. C'est grand, ça fait une immense lumière. D'abord tu es aveuglé, et tu te demandes sûrement quoi faire.

Et ensuite, quand tu regardes bien, tu crois apercevoir une fontaine au milieu, remplie d'un liquide très inflammable. D'ailleurs ça a failli te brûler quand ça s'est allumé.

La vasque en pierre est enflammée, et tu vois une grande pièce, nue. Il n'y a presque rien dedans, à part un autel, juste à côté de la vasque.

Tu peux décider d'aller le voir, ou de rebrousser chemin, peut-être que ce que tu cherches, c'est à dire un contact avec Kornettoh, est plus loin... Ou plus haut, dans l'autre couloir...

Peut-être... ou pas.

Dremed s'avença donc dans la salle et se dessida à aller voir l'autel.

[Là quand même j'aimerais bien un peu plus de développement... Je sais que tu fais des textes longs, mais là, une phrase me suffira pas... J'ai remarqué que ça se dégradait depuis peu de temps... Vas-y lâche-toi un peu, tu peux improviser un combat, ce que tu veux, tu as carte blanche juste pour l'instant.]

[Ha oui on voit tout de suite la différence... C'est nettement mieux... Essaye de conserver des textes de plusieurs lignes, pas nécessairement tout ça, mais plusieurs quand même...]

En fait oui, c'est une salle banale, grande, en pierre. Et ton combat remporté, tu remontes donc les marches. En n'ayant aucunement l'impression de t'être fait manipuler par le narrateur, qui voulait bien entendu que tu ailles en haut. mais bon, ne nous attardons pas, puisque tu y vas.

Tu remontes les escaliers, donc, et re-tombes sur les deux torches... dont une est décrochée et est en bas dans la salle, à flamber le reste du liquide.

Le couloir est long, et il y a un sacré écho, ce qui fait que tu entendras quiconque essayera de te suivre. Plus aucun danger de se faire poursuivre, donc.

Il reste une torche au mur, et un couloir dégagé, ton professeur sur tes talons, ne pipant mot, mais observant tous tes faits et gestes.

Tu pourrais te sentir mal-à l'aise, mais il ne s'en préoccupe pas, il te fixe. Rien de bizarre sinon.

Que fais-tu donc ?

Tu avances dans le couloir, de façon... sacrément prudente. Mais ici j'avais décidé de pas mettre de piges, parce que de toute façon, ça sert à rien : on est dans l'antre d'un Dieu, pas dans un vulgaire donjon arpenté par des guerriers, ou aventuriers de bas étage.

Ici, seules les serviteurs de Kornettoh peuvent entrer. Lui, a senti ta présence, et souhaite te voir. Tu ne le sais pas, mais ton professeur ne peut plus avancer, et tu avances alors que lui ne peut que reculer. Il est loin... très loin maintenant. Pareil pour les deux gnomes. Ils resteront avec ton professeur. Il avait l'air rassurant, lui aussi. Ou peut-être pas...

Tu entends un bruit étouffé loin derrière toi, mais ne t'en préoccupes pas, car presque imperceptible.

Tu es seul, ta torche vacille et s'éteint. Il n'y a rien autour de toi, le noir complet. Des murs lisses, et un couloir te menant de plus en plus profond.

Tu n'as pas le choix... il faut avancer.

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Un peu plus tard, alors que tu marches depuis un certain temps dans ce couloir, dans lequel tu ne vois rien, tu tombes nez à nez avec une porte. Sachant que tu avais le bras tendu avec la torche, même avec une braise ou un rien de lumière, tu ne te cognes pas. mais c'est juste.

C'est une porte massive en fer. On dirait que ça a l'air de résonner derrière. Frapper à la porte ? Peut-être une bonne idée... Ou pas.

Tu fais comme tu veux, mais en tout cas il n'y a rien pour l'ouvrir, même pas de torche pour y voir plus clair...

Tu peux essayer d'y voir plus clair peut-être... Ou pousser, ou frapper à la porte. C'est comme tu le sens...

Mais la porte ne bouge pas. Ce n'est sans doute pas en la poussant que ça va marcher. Regarde peut-être autour de toi, je ne sais pas...

Improvise !

Je te laisse trouver une solution, fais-moi... environ une dizaine de lignes, ça suffira.

Evite de décrire la salle, c'est à moi de le faire... Tout ce que je te demande, c'est d'ouvrir la porte d'une façon... peu orthodoxe, et marrante ! Enfin, essaye de me faire rire en tout cas...

A toi de jouer !

[Mouais j'aime bien, pas mal...]

La porte s'ouvre finalement quand tu... la défonces. Bon en fait elle s'ouvre pas mais au moins il y a une ouverture qui donne sur la salle suivante. La dernière aussi. mais celle où peut-être ta vie va basculer.

Tu découvres une salle beaucoup moins grande, mais avec un vrai autel cette fois-ci. Un autel où on peut prier en frappant, en dégageant sa fureur sur des victimes déjà empalées. Il y a des marques de violences sur leurs corps. Deux femmes et deux hommes, sur quatre pieux.

Des méchantes personnes, sans aucun doute. Ou peut-être des gentils, mais contre le culte, en tout cas.

Le sang a coulé par terre, suite aux multiples blessures infligées par on-ne-sait-qui à ces pauvres diables... comme sur une fresque, sur le mur...

En entrant dans cette salle, tu te rends compte que la porte vient de se fermer derrière toi. Tu as quelque chose à faire ici... Mais quoi ?