AVENTURE

L'auberge de Waldorg était un batiment modeste et chaleureux, en pierres disjointe, le sol recouvert d'un plancher ciré et propre, bien qu'usé. Sur le mur nord, une immense cheminée de briques rouges réchauffait la pièce de ses flammes psychédéliques.
Une dizaine de grandes tables à trettaux rectangulaires étaient dressées, encadrées de banc en bois de chène. Le temps, percevable à travers les carreaux diaphragmes des minuscules fenetres, frappaient le verre d'une pluie maussade. La nuit tombait, et la salle était presque vide. A l'une des tables, un groupe de trois hommes bedonants frappaient le bois de leurs chopes mousseuses, et leur voix fortes étaient les seules à résonner dans l'immense et poignant silence.
Derrière son comptoir, l'aubergiste, un homme plutôt jeune, le cheveux roux, astiquait une surface déjà impecable, en jetant des regards exaspérés à la pluie et aux trois personnages.
Dans cette ambiance morose et tranquille, la porte s'ouvrit peu bruyemment, et un homme, emmitoufflé dans une cape noire, pénétra dans al pièce.
Tel un chiot, il s'ébroua, laissa retomber sa capuche en arrière découvrant un crane chauve et un visage avenant. Souriant, il posa son vétement sur le porte manteau dans un coin, et alla s'asseoir à une table éloignée. Au regard interogateur de l'aubergiste, il commanda une chope de vin chaud, qu'il bu rapidement quand elle arriva. Il semblait gelé. L'aubergiste, lancant toujours des regards couroucés au groupe bruyant, resta quelques instant pret de la table de l'inconnu, attiré par l'air aimable de l'homme.

- Bien le bonjour mon cher. Ravi de vous rencontrez, Bertrant, pour vous servir.

- Je vous retourne vos salutations répondit d'une voix très sereine et appaisante l'homme.
Il se trouve que ej viens ici afin de déceler par intuition certaine un groupe d'aventuriers compétants.

- Des aventuriers dans notre ville ? Oh, sans aucun doute que vous en trouverez... Et puis il faut le dire, dans une auberge, vous êtes au bon endroit. Nous avons de fiers et vaillants combattants, Oh que Oui.

Ne disant plus mot, les deux comparses fixèrent la porte, brulant son bois de leur regard, souhaitant que son entrebaillement laisse apparaitre les aventuriers sus-recherchés.

[TOPIC RESERVE A L'EQUIPE UN]

Baboum pénétra dans l'auberge de Waldorg. Cela faisait plus d'un mois qu'il n'y avait pas mis les pieds. Il scruta l'intérieur de l'auberge et vit deux elfes qui s'échangeaient des flèches, un groupe de nains qui se battaient pour des pièces et, assis sur un tabouret loin des autres, un homme enveloppé d'une grande cape noire qui parlait avec l'aubergiste.
A sa vu, l'aubergiste retourna à ses fourneaux laissant l'homme seul. Il l'enleva sa capuche laissant découvrir un visage bienveillant et un crâne dégarni. Le plus étrange c'est que Baboum n'avait jamais vu cet homme auparavant. De plus, l'homme scruta la porte en regardant Baboum un instant puis derrière lui.
Baboum avança vers le comptoir dans la ferme attention dans savoir plus à son sujet et de boire une bonne chope de bière.

« -AAAAAHHH !! Baboum comme cela fait longtemps que l’on ne t’a pas vu dans les environs !! On te croyait mort dans les griffes d’un cerbère ou d’un troll ! Alors, un tonneau de bière pour notre cher nain ?
- Non ! Ce sera une chope de bière et quelques informations sur ce type assis dans l’ombre !
- Quels genres d’informations veux tu ?
- Qui il est ? Qu’est ce qu’il fait ici ? Qu’est ce qu’il cherche ? A peu prés tout ce qu’un aubergiste curieux comme toi as réussi a soutirer.
- Tu surestimes ma curiosité maître nain ! Je ne sais pas qu’il est. Tout ce que je sais c’est qu’il cherche un groupe d’aventuriers compétents pour une quelconque quête ou genre de choses qui doit ressembler à ça.
- intéressant ! Bon, elle vient cette chope de bière où je dois le faire moi-même.
- Ah oui désolé ! Tiens

Baboum sa bière d’une traite et commença a réfléchir :

(Il cherche des aventuriers compétents ! C’est exactement mon profil ! Je crois que je vais aller voir ce bonhomme et lui dire qui je suis ! Peut être qui me donnera des pièces d’or pour cette quête. Je sais qu’un groupe d’aventuriers ont déjà eu une quête et ils ont amassé de l’or comme mon cousin. Il a eu une quête et on lui a offert des armes et des pièces d’or ! Bon c’est décidé !!)

Il avança vers l’homme d’un pas décidé

« - Alors vous cherchez des aventuriers pour votre mission ?
- Oui ! Qui es tu ?
- Je me présente Baboum des montagnes du nord ! Maître nain ! Ex exilé de la mine. Je suis le fils de Gugendebil des montagnes du nord et ma mère était rengourdildes collines saltrouille.
- Mmmh ! C’est d’accord ! Tu es le premier à t’être inscrit ici ! Je vais attendre un peu pour te parler de la mission si d’autres aventuriers rentrent !
- Y a pas de problème ! Aubergiste ! Deux chopes de bières ! »

Aprés être revenu de sa chasse, Elrohir courait sous la pluie, et il entra dans le premier bâtiment qu'il aperçu, c'était l'auberge. Il entra a l'intérieur, tout trempé.
Vu qu'il avait couru assez vite, l'Elfe avait un ppoint de coté, il s'assit donc au comptoir. Mais, il avait remarqué cet étrange homme, là-bas, au fond de la salle, l'observait depuis son entrée.
-désirez quequchose ?
L'Elfe répondit poliment non, mais demanda qui était ce mystérieux bonhomme là-bas...
-Ah lui, ben...en fait, je sais pas trop, mais je sais qu'il est a la recherche d'un groupe d'aventurier, si ca vous intéresse...
"Merci beaucoup..."
L'Elfe se dirigea donc vers la table, mais en s'approchant, il put apercevoir un nain au fond d'une chaise a la table de l'homme.
*Bah...faut faire avec..*
Il s'approcha de l'homme en question, et donc, se présenta...
"Salut a toi, je me prénomme Elrohir, Elrohir Inglorion. J'ai entendu dire que tu cherchai un groupe d'aventurier, si tu veux bien, je suis partant pour une aventure."
Puis l'Elfe s'assit, en scrutant toujours la moindre trace d'émotions chez ce curieux personnage...




edit: merci de ne pas réprimander, c'est au GMs de le faire au besoin

Après une bonne semaine de vacances(sous la pluie), Odessa repris le chemin du retour, la sorcière se dirigea vers l'auberge.Elle ouvrit la porte et vit un Elfe tout tremper assis à coté d'un drôle d'homme, accouder a la table se tenait un nain.Tout trois sirotaient de la bière.L'aubergiste lui dit d'une voie sourde[color]Bonsoir, que désirez-vous? La sorcière se retourna et lui dit
Rien merci.l'Elfe se leva en s'approchant vers Odessa, celle-ci le reconu imédiatement.Vous êtes surement Elrohir Inglorion, j'ai lu toutes les annonces que vous avez écrite, et elle sont superbe.
Puis la sorcière lui demanda pourquoi il y avait tout ce monde ici, réunis dans cette auberge .Et Elrohir Inglorion lui raconta que c'était pour l'aventure.
Puis-je y participé?Oh non désolé j'avais oublié qu'il fallait un niveau requis, mais je peut essayer........L'Elfe ne lui répondit pas...........

C'est trempé par une pluie battante que Otto arriva enfin en vue de l'imposante cité de Waldorg. Bien que cette ville était somptueuse, Otto ne pouvais s'empêcher de penser à Valtordu... Pourquoi avait-il quitté sa ville? C'est une bonne question. Ce matin là, il s'était réveillé avec un pressentiment, et n'écoutant que son instinct, il avait prit la route dès le lever du jour. Le voilà donc enfin arrivé, après voyagé dans l'inconfortable carriole d'un colporteur peu bavard, une pipe serrée entre les lèvres, Otto se tient devant la grand porte au beau milieu de la nuit.

Les fonctionnaires gardes n'ayant pas l'air d'avoir envie de faire du zèle, ils le laissèrent entrer sans poser de questions.

Guidé par son odorat à toute épreuve, le Hobbit eut tôt fait de repérer le débit de boisson le plus proche, et entra sans attendre dans la taverne chaleureuse. Il y avait bien peu de clients, seulement un groupe de personnages disparates entourant un vieil homme qui se tenait accoudé au bout du comptoir. Ne connaissant personne, Otto s’avança vers le tavernier.

Il escalade un tabouret pour se mettre à la hauteur de son interlocuteur.

« -‘Soir Qu’est-ce qu’vous buvez ?
-Je prendrait un whisky bien sec et un où deux renseignement, c’est possible ?
-‘sûr que c’est possible. »

Le tavernier lui tend un verre de liquide non identifié.

« -Voilà mon p’tit Monsieur. Vous disiez que vous vouliez savoir quelque chose, nan ?
-En effet. Qui est cet homme là-bas ? Il semble être au centre de l’attention…
- Bof, j’ne sais pas trop vous dire… Il est arrivé y’a un où deux jours. Je crois qu’il cherche des volontaires pour les envoyer au casse-pipe. Mais bon, y paraîtrait qu’il paye bien… »

** Des pensés contradictoire affluent dans la tête du hobbit : « paye bien » ?? « Casse-pipe » ??**

Otto savait qu’il n’était pas venu ici pour rien. C’était peut-être l’occasion pour lui devenir « Quelqu’un »… Mais si jamais il mourrait ?? Non… ce n’est pas possible. Il ne compte pas mourir avant d’avoir fait quelque chose de grand. Non.

Il respira à fond et s’approcha du groupe.

Le Type semblait peut bavard, Otto salua le reste du groupe. Un elfe, un nain… Les halfling ne sont réellement à l’aise que parmi les leurs, et c’est sans surprises qu’il nota que personne ne daigna lui répondre. Il s’assit donc avec les autres et attendit comme il le fait si bien, en fumant.

Ca y’est, il était engagé.

Alors que l’humaine se dirigeait vers la sortie, l’homme, qui n’avait pas encore prononcé un seul mot en voyant peu à peu les quatre aventuriers s’asseoir à ses côtés, se leva brusquement. Il Sortit son épée avec une rapidité éblouissante, et barra d’un coup sec le passage à Odessa. Un coup sec du plat de son épée la fit rasseoir, et l’homme regarda lentement un par un avec un regard insidieux les quatre compagnons.

- Pas si vite, Humaine. Tu dois participer à cette quête. Oui, il s’ait de bien plus que d’une aventure. Le fait que vous soyez tous réunis là en cet instant n’est pas un hasard et je ne tolèrerai aucun absentéisme, aucune renonciation. Le destin a décidé que vous participeriez tous les quatre à l’aventure, et ce sera le cas.
L’homme avait un regard noir, chaleureux mais implacable. En dépit de son apparence débonnaire, il était évident qu’il s’agissait d’un combattant hors pair, comme le montrait son habileté à réagir à la tentative de fuite de l’humaine.
Maintenant, écoutez plutôt ce que j’ai a vous apprendre.
Je vous envoie chercher un objet dans un lointain donjon. Mais veuillez d’abord écouter mon histoire.
Il y a bien longtemps, dans le désert des plaintes, se tenait un temple, celui de la vie et du trépas. Les prêtres y exerçaient un travail indispensable. Ils sauvaient la vie des plus malades, des plus blessés, des plus méritants. Au contraire, ils punissaient de mort ceux qui osaient s’approcher avec de vils intentions. Ils offraient même la récompense de la mort sacrée aux blessés qui étaient bons et qu’ils ne pouvaient soigner.
Ainsi, pendant des centaines d’années, chacun d’entre eux soigna son prochain, dans l’harmonie. Les enfants des prêtres devenaient prêtres, sans qu’aucun ne refuse cette obligation, puisqu’il s’agissait d’une tache si noble. Mais un jour, un étranger arriva à la bâtisse. Il était vieux et blessé, et semblait inoffensif, c’est pourquoi les moines acceptèrent de le soigner. Peu à peu, il reprit santé, et finit par guérir. Mais il refusa de quitter l’endroit. Il voulait, disait-il, apprendre la science des soigneurs, celle qui l’avait sauvée.
Les prêtres, fondamentalement bons, acceptèrent bien qu’il s’agisse d’un secret ancestral. Ils lui apprirent leur art, que moi-même j’ignore totalement.
L’homme apprit, apprit, et devint leur égal. Mais il refusa de s’arreter là. Il voulait, disait-il, toujours en savoir plus. Il voulait sauver plus de gens, en connaître plus. Ne voulait pas se contenter d’offrir la mort lorsqu’il ne savait plus quoi faire. Il fit des recherches, mais un beau jour, les moines voulurent le faire cesser. En effet, il s’agissait d’une violation des règles de la vie. Ils estimaient que le vieil homme faisait des recherches trop proches de l’immortalité pour être honnêtes. Ils bannirent l’homme, et tout redevint normal. Ils soignèrent, en toute sérénité, tout ceux porteur du bien pendant de longes années.
Mais le vieil homme était parti s’installer dans une ville, et voilà que quelque années plus tard, un vagabond de passage leur appris qu’il avait monté son propre commerce.
Il ne faisait pas payer les gens, mais soignait n’importe qui, les bons comme les mauvais qui méritaient la mort. Furieux, les prêtres décidèrent d’aller occire sur l’heure le vieil homme. Mais aucun d’eux n’était jamais sorti du monastère, et ils ne savaient quel chemin emprunté, ni comment se battre ou se déplacer. Ils envoyèrent donc un messager, une des perosnnes qu’ils avaient soignée, pour convier le vieil homme à une visite.
L’homme arriva sous peu. Ils l’accusèrent de détourner leur art, mais le perfide homme répliqua qu’il ne faisait qu’établir la justice. Les prêtres voulurent alors jeter un sortilège extrêmement puissant au vieil homme. Mais le perfide homme, voulant se défendre, jeta un sortilège mauvais et destructeur. Le bâtiment vola en éclat, et nul ne fut plus jamais en mesure d’y etre soigner. On raconte cependant… L’homme baissa alors la voix
On raconte qu’il existe encore un souterrain, où on peut trouver un ancien grimoire, qui permettrait de soigner en pratiquant l’art de ces soigneurs.
Voyez vous, ma sœur est extrêmement malade. J’ai un besoin urgent de cet art, pour la sauver elle qui si gentille. Si je pouvais, pour elle j’irai seul chercher ce grimoire, mais je ne puis me permettre de l’abandonner. Je vous en supplie, si vous êtes ici aujourd’hui, c’est pour m’aider. Amener moi ce grimoire, je vous jure que je n’en ferai un usage que réfléchi. Je pourrais même refonder ce monastère, pour soigner ceux qui le mérite. J’ai besoin de vous, pour ma vie, pour celle de ma sœur. Des milliers de gens pourraient être sauvés grâce à vous.
Si vous acceptez, je vous montrerai sur une carte où se situe le monastère, et je vous donnerai à chacun un objet pour vous aider dans cette quete. A votre retour, vous recevrez chacun 200 pièces d’or. Si vous acceptez, il vous faudra un chef... et je vous donnerai les objets...

L'homme avait un regard suppliant, et en racontant l'histoire, des larmes lui étaient venue aux yeux, qu'il s'empressa d'essuyer discretement.

Otto écouta sasn broncher l'histoire de l'homme jusqu'à ce qu'il eut fini...
Eteignant sa pipe, le hobbit se sentit un peu bizare. Il était tellement touché par cette histoire.... La perspective de pouvoir sauver la vie une âme pure était si attirante...
Et toute cette richesse!! Non, c'est vraiment quelque chose à faire. Et il le ferait.
Il s'éclairci la gorge:

"Eh bien, mon bonhomme, voilà qui est tout à fait intéressant... Je pense que nous sommes capable de sauver votre soeur, et je serait moi même très fier de participer à cette tâche honorable. Je suis donc à votre service.
Cependant je doute de vouloir suivre les conseil d'un Elfe. Mais bon... Si c'est al meilleur chose à faire, j'écouterais et obéirais à ses ordres.
Moi, Otto Sousvaillant, accepte de m'engager dans cette peu ordinaire."

"je vous remercie, maitre hobbit."



[...un elfe XD...]

Otto avait eu le temps de réfléchir lors de son retour du marché. Et sentant le poigt rassurant de la viande protéiné se trouvant dans son sac, Otto rejoint ses futurs compagnons.

"Rebonsoir! Excusez moi d'intervenir, mais je suis venu à une idée. Il me semble que je dispose de l'expérience suffisante en matière de vagabondage pour assumer la position du meneur. Ma petite taille ne m'empèche pas d'avoir de la suite dans les idées, et je pense avoir l'équilibre mental suffisant pour suporter les responsabilités qu'entraine la position de chef. Et je peux sans modestie dire que je ne suis pas d'un ordinaire cupide ou égoiste. Si vous accepter de me suivre, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour assurer la sécurité et la reconnaissance qui est dûe à chacun d'entre vous.
A vous de choisir, bien entendu. Ecoutez votre conscience et faites le bon choix."

Les élocutions réthoriques fatiguent vite Otto, aussi se sert-il une pinte d'ale pour faire descendre l'émotion.

Il sentit qu'il était le dernier qui n'avait pas donné son avis. Bien entendu, il était d'accord pour la quête. Mais, il avait un problème pour désigner qui serait le chef. Il ne connaissait ni l'humaine bien qu'elle ne soit pas désigné pour être le chef, ni l'elfe, ni le drôle de personnage assis à sa droite.
Il ressemblait à un homme âgée mais avait la taille d'un nain ou d'un enfant de 10 ans. Il n'avait pas de barbe et avait comme arme une dague au lieu d'une hache comme tout les nains. Enfin, l'elfe l'a appelé "maître hobbit" ce qui devait être sa race car certain de cette ville l'appelait "maître nain"
Il réfléchit un instant et se leva de sa chaise. (Personne ne l'a remarqué)

"- Hum, hum ! J'ai pris ma décision ! Je fait cette quête mais j'ai aussi choisi qui sera notre chef et pourquoi. Ce sera ce maître hobbit. Il est hors de question que je sois commandé par un elfe et qu'il me donne des ordres. Je préfère que ce soit ce personnage hors du commun dont je ne connais pas son nom. Il a l'air fort sympathique et intelligent. Je pense qu'il mènera à bien cette mission et notre groupe ! C'est tout ce que j'avais à dire ! Maintenant ! Je vais prendre une bière et je reviens !"

Baboum prit une bière, se rassit et but en attendant le verdict final en ce qui concerne le chef du groupe. Baboum savait au moins une chose : il n'avait pas l'âme d'un chef

"charmant..."


Edit de Nirë : Merci de poster des messages plus conséquents.


[désolé, je n'avais pas le temp, et je devais dire qelque chose^^,encore désolé XD]

"zut, a deux voix contre deux, on est pas sortis de l'auberge...il faut trouver un moyen de nous départager."

Ayant écouté l'intervention du Nain, Otto sourit pour exprimer sa satisfaction à entendre quelqu'un parler en sa faveur. En gage de remerciement et de confiance il lui teint ces mots:

"Merci beaucoup de votre soutien, Monseigneur Baboum. Je tien à perpétuer une coutume de mon pays, qui veut que deux récents amis partage la même herbe à pipe."

Il tira à nouveau sa fidèle pipe de son sac, la bourra généreusement, l'alluma, et la tendit au nain.

"Vous ne devriez pas avoir trop de mal à en apprécier le goût, même si c'est un peu fort. J'ai déjà entendue parler de l'opiniâtreté des membres de votre espèce, et je pense que nous allons bien entendre."

Il resta à attendre la réaction de celui-ci, pressé de pouvoir proposer la pipe à ses deux autres compagnons...

L'homme qui avait peu de temps auparavent narré son histoire sourrit voyant le désacord de l'équipe. Qu'allaient-ils donc donner en quête si déjà ils étaient de différents avis! Mais la situation était bel et bien bloquée et il sentit que c'était le bon moment de reprendre la parole, à la fois pour appaiser les tensions et pour évitee les problèmes. Du fond de sa chaise il se leva et se mit à murmurer quelques mots inintelligibles avant d'en venir aux choses sérieuses.

-Je ne crois pas qu'aucun de vous soit prêt à supporter la lourdeur de la tâche qu'incombe d'être maître de groupe lors d'une quête. Mais... Je vous vois tous deux, prétendants à ce titre, debouts devant moi, et ne sachant que faire pour vous départager... Il me semble que... L'un de vous deux est mieux équipé... Et puis... Son oeil vif ne saurait tromper l'assistance qu'il a une réelle réflexion sur la vie, et je pense qu'il saurait vous tirer de situations pénibles! Maître hobbit, approchez-vous... et soyez certain que malgré votre petite taille, vos capacités ne seront jamais remises en cause par quelque autre membre du groupe que vous, sauf si unanimité est faite pour votre destitution... Mais je sais que votre sagesse vous évitera d'en arriver là. Vous prendrez donc le commandement de ce groupe d'aventuriers et les aiderez à prendre les bonnes décisions... Mais ne soyez pas tout de même tyran!... Maisntenant partez! Ma soeur se meurt!

D'un geste ample avec sa cape, l'homme s'assit à nouveau et scruta les réactions des aventuriers.

Otto sentit une vague de fierté déferler en lui, et il bomba courageusement le torse. Il était très fier de se voir confier des responsabilités.

"Je ne connais pas votre nom, Monseigneur, mais je tiens à jurer devant mes ancêtres que je ferait tout ce qui est en mon humble pouvoir pour mener à bien cette noble cause. Prochainement, votre soeur pour se targuer d'être en convalescence. "

Il se tourna alors vers son groupe:

"Mes amis, j'espère que ce désaccord ne fera pas naître de jalousie dans ce groupe. Je suis avant tout désigné pour nous permettre de réussir dans notre mission. Il faut, que dis-je... il est INDISPENSABLE que nous agissions ensemble, les uns avec les autres. Notre groupe ne formera bientôt plus qu'une seule et unique conscience collective, nous frapperons dans un même mouvement, nos pensés s'uniront, et rien ne pourra se dresser bien longtemps en travers de notre chemin.
Et surtout, n'oubliez jamais, je ne vous commande pas, je vous guide. Je ne suis pas un chef, mais un meneur. J'espère pouvoir me montrer digne de la confiance que vous placer en moi."

Se tourna une dernière fois vers le mystérieux commanditaire:

"Monseigneur, je pense que nous seront près à partir dès l'aube."

Ayant écouté la conclusion de l'home, Elrohir répondit...
Trés bien, qu'il en soit ainsi, mais je serais meneur un jour, mais bon, partons vite, nous avons deja perdu assez de temp comme ca. Cher maitre hobbit, je respecte le choix de monsieur, et comme vous dites, l'union fait la force, nous allons tous sur le même chemin, en route compagnons. Ah oui, tient, je ne veux pas de votre pipe, mais je suis fière de contribuer a une noble cause a vos cotés, guide. Le départ doit se faire, qu'en disent mes compagnons ?"
Et notre Elfe observa la réaction des deux autre personnes présente dans cette salle, qui commençait a être vide...

*et je suis sur qu'on peut faire confiance a ce hobbit, on va se comprendre tout les deux...*

[lol, on décolle XD]

Aprés une longue marche depuis Valtordu, Rarë parvint enfin a l'auberge de Waldorg. Il entra en trombe, et couru au tavernier.
"Bonjour, je cheche Elrohir Inglorion, vous savez où il est ?"

-Quelle bonne surpise, il est là bas justement.

"merci..."

Puis l'elfe se dirigea vers l'autre elfe de la salle.
"je te défie, j'ai entendu parler de toi a Valtordu, et je veux voir si tu est a la hauteur de ta réputation, en garde !!"

Surpris par cette intrusion plus qu'indésirable, Elrohir répondit a l'inconnu.
"Je ne sais pas ce que l'on ta dit sur moi, mais si tu veux un duel, sais que tu na aucune chance, mais si tu y tient, je ne défilerai pas.
Et l'elfe se mit en position, pret a se défendre s'il le fallait.
*Non mais, il se prend pour qui celui là, je ne le connais même pas...*

"tu te surestime, je vais avoir ton honneur."
Et l'elfe se jeta sur le second elfe...