[chasse au trésor] et chasse au nain

CHAPITRE 1 :

Tranquillement, en attendant la réponse de l'université, notre ami de toujours, Gwennaall le nain, vagabondait dans le bois de N'talamela. Plus précisément, il s'arrêtait à la lisière et longeait les arbres.
"Ça fait du bien de marcher sans être fatigué !"
"Ça tu l'as dit bouffi !" lui répondit alors une voix caverneuse.

Mais le nain ne sembla pas l'entendre... Il continuait inlassablement sa marche de nain. Le ciel était presque orange car la journée était presque passée. Il l'admirait avec des étoiles dans les yeux. La nuit était presque tombée, voilant de noir tout ce que pouvait voir le nain. La voix caverneuse reprit sa conversation monotone :

"Hé le nain, comment tu vas t'en sortir ?"
"J'en sais rien, mais j'ai pas de problème alors ça me dérange pas..." lui répondit-il.

Tout à coup, il sentit que cette voix n’était pas là pour l’aider, mais bien pour le combattre. Il se jeta en arrière, et s’écrasa lamentablement sur le sol avec un bruit de craquement.
Un mur était posé là, juste pour le gêner, il commença à courir, et se planta lamentablement sur le mur.

« Ça va pas se passer comme ça ! »

Il longea le mur, jusqu’à apercevoir une brèche. Il s’y engouffra, en s’apercevant qu’il était trop gros. Il poussa fort et démolit le mur jusqu’à former un gros trou, pouvant faire passer trois nains comme lui. De l’autre côté, il s’aperçut vite qu’il n’y avait rien…

CHAPITRE 2 :

Il commença ses recherches, quand il entendit un bruit, ou plutôt des paroles indistinctes :

« Arzzrcho, jze t’zai dzemzandzé dze mze rzazpzorrtzer zun znain !
-Je sais maître… mais il est coriace ! »

*Ainsi donc je suis coriace !* se dit-il…
Il décida donc de leur montrer ce qu’il avait dans le ventre… A pas feutrés, il s’avança vers la source du bruit… N’étant pas d’une agilité légendaire, et surtout d’une discrétion plus que légendaire, il s’étala sur le sol.

« Mon amie la terre ! se dit-il, pourquoi être si cruelle et m’infliger de tels tourments ? »

Se relevant avec prudence, il se cacha vite derrière un gros chêne. Il repéra le chemin du retour, au cas où il aurait à fuir. Il s’avança très vite, autant que le lui permettait sa carcasse de nain, et courut aussi vite qu’il le put vers une grande carcasse noire qui gisait sur le sol. Apeuré, il s’arrêta net devant un petit personnage grisâtre qui avait levé ses deux mains et qui projetait de lancer une boule de feu sur Gwennaall. Il se cacha derrière le même arbre que tout à l’heure, mais cette fois, il fût cramé, et tomba lorsque le nain le poussa. La petite figure grisâtre gisait sur le sol, à moitié défigurée. La carcasse noire n’avait pas bronché, pas bougé : rien. Elle parla d’une voix lente et posée :

« Très bien, maître nain, tu as réussi la première épreuve, je vais te donner une carte. Elle est très importante. Elle est la gardienne de mon âme. Tu devras la déposer au beau milieu de la forêt. Je compte sur toi pour accomplir cette tâche très vite. Reviens me voir quand ce sera terminé. Et, ah ! j’oubliais, là où tu devras la déposer, c’est un petit autel, gardien de la réalité. Je me déplacerai peut-être, mais je mets entre nous une communication, je te dirais où je suis. Et maintenant, va ! et prends ta carte… »

Pendant ce temps, le nain s’était approché de la bête, voyant qu’elle n’était pas armée, pas dangereuse. Il osa une question :

« Et je peux te d’mander, la bestiole, pourquoi c’est moi qui me tape le sale boulot ?
- Tu recevras, en échange, un objet dont je ne peux te révéler l’existence…
- Ah ouais ? et pourquoi je risquerai ma peau pour toi ?
- Va, et ~~ne reviens jamais~~ reviens dès que ta quête sera achevée !

Il commença alors à marcher, jusqu’au centre obscur de la forêt…

Chapitre à part

Lors du petit dialogue entre la carcasse et le nain, la figure grise s'était dégagée et s'était enfuie. Elle s'était jurée de tuer, du moins de se venger de ce petit personnage qui se dirigerait vers le centre de la forêt. Tout était prévu avec le monstre. Mais il semblait l'avoir trahi. En effet, il ne devait pas se faire écraser par un arbre, mais juste s'enfuir devant la "puissance de feu" du nain. La phrase que lui avait dit le monstre était inaudible, pour que le nain ne la comprenne pas. En réalité, elle signifiait :

"Arrcho, je t’ai demandé de me rapporter un nain !"

Il avait fait son travail, comme un très bon serviteur. Maintenant, il se sentait libre, et il allait tous les tuer ! Le monstre, et le nain ! La trahison se paye toujours, tôt ou tard !

Le nain allait payer pour les deux, puisqu'il allait tuer à coup d'épée son ancien maître. Le nain se ferait dépecer, démembrer, vivant ! Il allait lui faire sortir les yeux des orbites avant de les crever... Arrcho n'était plus la petite figure grisâtre que le nain avait vu : il serait le Chevalier du Temps Maudit !

"Tiens-toi bien ! Grosse créature, tu vas te faire tuer de suite !"

CHAPITRE 3 :

Le nain, voyant sa marche s’éterniser, s’assit quelques secondes, et entendit un cri dans sa tête :

« Au secours ! Cher nain ! Au secours ! Je suis attaqué par mon ancien disciple !
- Ah merde ! comment je fais !
- Viens vite me retrouver ! Cours !
- Ok j’arrive ! » termina le nain.

Il courut alors aussi vite qu’il le put. Dès qu’il fut arrivé, c’est-à-dire quelques minutes plus tard, la créature se défendait, mais avec assez peu de vigueur. C’est à ce moment que le nain entra en action. Il fonça aussi vite qu’il le put, tête baissée, sans rien voir. Le magicien, Chevalier du Temps Maudit, avait commencé à créer une boule de feu. Le choc dans l’abdomen lui fit incessamment cesser ses sorts de sorcier (attention à la prononciation). Le pied du nain accrochait bien à la surface boueuse de la forêt alors que les souliers de tissu du Chevalier le faisaient déraper. Il tomba de nombreuses fois, mais il se relevait à chaque fois rapidement, ce qui laissait au nain seulement le loisir de lui flanquer des coups de pied dans les jambes. Au bout de la cinquième fois, le Chevalier devint moins rapide, perdit certains de ses réflexes. Ses coups devinrent moins forts, ses jambes plus lourdes. Le nain réussit à le flanquer à terre de justesse avant qu’il ne lui assène un coup d’épée à la tête. C’est alors que le dialogue s’installa :

« Pourquoi vouloir me tuer, Chevalier ? demanda le nain.
- Pour…pour…pour…me…venger… de…vous…de…deux…
- Et pourquoi vouloir te venger ?
- Parce…parce que…vous…m’avez…trahi…
- Ah ouais, bien, donne moi cette épée…
-Oh…non ! » eut le temps de dire le Chevalier, avant d’avoir la tête tranchée.

« Très bien, la bestiole, je t’ai sauvé la vie, alors tu m’accompagnes ! continua le nain.
-Je ne le peux pas…je ne peux bouger d’ici, sans que le parchemin, la carte, ne soit dans l’autel… répondit la créature, alors maintenant, va ! et dépose la carte pour moi… »

CHAPITRE 4 :

Il continua alors son épopée formidable. La marche était un bon entraînement pour tout nain qui se respecte. Il pouvait se muscler et devenir plus robuste. Il demanda alors à la créature :

« Ey la bestiole ! Comment je fais pour trouver ton autel pourri ? Tu peux me guider ?
- Bien sûr ! MAIS COMMENT LE FERAIS-JE ? JE NE SUIS PAS À COTE DE TOI !
- Merci bestiole, mais si je t’indique le chemin, est-ce-que ton empoté de cerveau va recevoir une image ? rétorqua le nain.
- C’est possible en effet. Concentre toi sur l’endroit où tu es, et imagine à peu près ce à quoi cela ressemble dans ton imagination. répondit calmement la créature.
- Mmnnggéé ! C’est pas facile de parler en même temps ! dit alors le nain.
- Eh bien tais-toi ! Ah, bien ! J’ai reçu ton image télépathique. Va vers la gauche… mais, que vois-je ? Si, c’est bien l’autel ! Dirige-toi vite vers lui ! Dépose le parchemin, je vais me télé porter pour te retrouver ! cria mentalement la carcasse.
- Ah, bonne nouvelle, je ne savais pas que tu pouvais te télé porter…
- Je suis là ! dit la masse noire, maintenant, continuons le chemin qui nous sépare du Chevalier du Temps Maudit, il a du se réveiller à présent !
- Je lui ai coupé la tête… Tu te rappelles ? cracha le nain.
- Ah bien, alors je te conduis vers un campement de gobelins, ils m’ont tout volé. Je devais demander au Chevalier, qui est l’ancienne figure grise…
- Ah c’était lui ?
- Oui… malheureusement… Le Chevalier, qui est l’ancienne figure grise donc, je devais lui demander de me chercher un nain. Il l’a trouvé. C’est toi. Ce nain devait m’aider à tuer les gobelins. Je peux tous les tuer, sauf un. C’est le magicien. Il prononce souvent des incantations, je l’entends depuis ma cachette. Il est trop puissant. Mais toi, tu peux m’aider. Tu vas l’occuper pendant que je tue les autres.
- Très bien, allons-y… dit enfin le nain, alors qu’il avançait.

Cela se passa comme prévu, à cela près que le nain ne réussit pas tout à fait son déplacement silencieux. En effet, il marcha sur une brindille qui fit un très grand bruit pour ce que c’était. Cela les fit repérer d’office. Tous les gobelins se jetèrent sur le nain, qu’ils n’appréciaient pas. La créature noire les happa tous et les tua. En un coup, les sept gobelins que comptait le camp furent anéantis. Le nain, pendant ce temps, occupait le magicien. Il lui lançait des pierres alors que l’autre essayait de l’enchanter. La créature s’approcha par derrière, et, d’un coup violent sur la nuque, tua le magicien.

« Je vais voir s’il n’y a rien à récupérer sur ces cadavres… dit le nain.
-Très bien, je vais voler le grimoire de ce gobelin, il peut me servir… »

Le combat remporté, la créature, un grimoire entre les pinces, et le nain, remportant un coffret qu’il avait trouvé là, retournent à la cachette de… ben de qui en fait ?

« Je m’appelle Karglass, dit la créature, et toi maître nain, comment t’appelles-tu ?
- Eh bien moi, Karglass, c’est Gwennaall… Je cherche un trésor qui appartenait à mon père, je ne me rappelais plus qu’il avait habité ici, dans une petite maison à l’orée du bois… Viens, je t’y emmène. »

Ils marchèrent tous deux, liés tant par la pensée que par la parole, se dirent tout de leur passé, et ils arrivèrent vite à la maisonnette du père de Gwennaall le nain, Le Nain Gras.

CHAPITRE 5 :

Arrivés tous deux, Gwennaall frappa à la porte. Personne ne répondit, comme il s’y attendait.

« Comme je te l’ai dit, Karglass, mon père est peut-être mort de vieillesse. Depuis que je l’ai quitté, il y a un an de cela, il était presque agonisant. Entrons maintenant. »

Il poussa la porte qui s’ouvrit difficilement dans un grincement sinistre. Visiblement, la maison n’avait pas été habitée depuis plus de neuf mois. Karglass le fit remarquer à Gwennall, qui lui répondit que ce n’était pas parce qu’il y avait des toiles d’araignée que la maison n’était pas habitée. Karglass demanda alors si les nains avaient une certaine hygiène, ce à quoi Gwennaall répondit qu’il faudrait mieux qu’il se la ferme.

« Papaa ! cria Gwennaall. Papaaaaaaaa ! T’es là ?
- A mon avis il n’y a personne… dit Karglass.
- Oh toi, tes phrases philosophiques, garde-les !
- Ca va ! Je ne faisais que remarquer… » répondit Karglass, doucement.

La maison de bois craquait de partout. Le nain fit remarquer que son père détestait les coutumes naines telles que construire des maisons en pierre. C’est pour cela qu’il vivait dans les bois dans une maisonnette de bois. C’est pourquoi il ne vivait pas dans la tribu du sujet…

« Moi, commença Gwennaall, je fais partie de la tribu du sujet, une tribu naine très respectée. Mon père a été banni pour ne pas avoir respecté la coutume naine de construie une maison en pierre dans la tribu. Et c’est là qu’il est venu ici. Je venais le voir souvent parce que j’aimais bien mon papa… Mais il a du mourir, alors je vais retrouver son corps meurtri et l’enterrer dans le bois, pas loin de la maison."

Il continua ses recherches jusqu’à entrer dans la chambre. Ce qu’il découvrit lui mit la larme à l’œil. Un nain, ou un elfe, avait peint toute sa famille. Il ne manquait pas un seul membre sur trois générations. Il prit le paquet et l’enveloppa. Avant cela, il vit derrière la représentation :

« Ce tableau a été peint par un peintre elfe du nom de Figdrim. Il représente toute la famille naine ayant vécu une partie de leur vie dans cette maison. Le père vient de mourir. Un sort a été jeté sur ce tableau pour savoir depuis combien de temps il a été peint : Ce tableau a été peint il y a « 4 » mois. »

« Bizarre ce sort, pas vrai Karglass ? commença Gwennaall, au bord des larmes.
- Oui, c’est vrai… Mais si tu veux, je peux ramener ton père car : Karglass répare, Karglass remplace… »

CHAPITRE 6 :

"Celui qui accompagnera mon fossoyeur sera mort dans d'atroces souffrances" indiquait un écriteau au dessus du lit de la chambre.

Le nain pensa alors qu'il faudrait mieux que Karglass parte, pour qu'il ne le revoie plus.

"Ecoute, je crois que se séparer est la meilleure chose à faire car si tu restes avec moi, tu meurs obligatoirement.
- Très bien, je m'en vais... répond Karglass, tout triste.
- J'espère que tu pourras t'en sortir bien pour la suite... Je reviendrais te voir, je ne t'oublierai jamais..."

C'est alors qu'il prit un corps sec et bleu sur le lit. Il le porta jusqu'à la lisière du bois, en regardant la silhouette sombre de son étrange ami s'éloigner. Il commença à creuser avec ses mains un grand trou, pour permettre à son père de passer. Il revint dans la maison et prit une hache que son père avait laissé là. Il coupa un arbre. Avec un couteau, il coupa des petites planches très fines. Il les lia ensemble avec une corde, et mit son père à l'intérieur de la boîte ainsi créée. Il la mit dans le trou et la recouvrit de terre. Avec une branche de l'arbre, il dessina dans la terre le nom de son père, et ses dates, approximatives. Il pleura un bon moment, puis repartit avec un mystérieux coffre sous le bras. Un peu de bière restait dans un placard de la cuisine. Il le but lentement...

"En l'honneur de mon père !" cria-t-il.

Il s'endormit alors sur la table, ivre mort.

CHAPITRE 7 :

S'étant réveillé, ayant la gueule de bois, le nain sortit de la maisonnette.

"Je suis sûr que ce coffre n'est rien ! Tiens, je vais l'ouvrir, au cas où..."

Il ouvrit alors le coffre qu'il avait trouvé près du corps de son père. Il contenait un parchemin sur lequel était écrit :

"Je suis ton père... Je sais que seul mon fils pourra ouvrir ce coffre... Je ne l'ai pas fermé, mais ensorcelé. Il a sans doute tué, mais au moins, j'ai trouvé mon fils. C'est donc très bien. Comme tout nain qui se respecte, j'ai haï les elfes toute ma vie. Personne ne le sait, à part toi, mon fils. Tu es ingénieux. Tu peux trouver comment prouver que je suis un nain à part entière, la seule faute que j'ai commise, c'est de construire ma maison en bois. Bref, tout ce baratin pour te dire, mon fils, qui que tu sois, nain, il faut que tu rendes service à un vieil ermite nain, qui ne s'est jamais aperçu qu'il souffrait, tant de son exil, que de sa solitude. Nain, mon fils, prends ce parchemin et, si tu m'as creusé une tombe, tu pourras revenir te recueillir, je te répondrai... Tagazok à toi, et bonne chance... Que le souffle de Tagazok te protège et te guide sur la voie de la sagesse naine...
Je te donne une carte pour trouver mon magot d'ermite au milieu de la forêt..."

Le nain en eut, pour la seconde fois, la larme à l'œil. Il s'exclama, alors qu'il pleurait :

"Enfin, un trésor ! Je vais enfin devenir riche !"

Il commença prestement sa marche naine. Ce nain pouvait se vanter d'avoir marché plus de cinquante kilomètres en deux jours, ce qui n'est pas mal, surtout pour un nain...

CHAPITRE 8 :

La marche nanesque s'achevait au milieu de la forêt.

"Bon, alors, 'faut passer à gauche de l'autel, puis à droite de l'arbre biscornu..."

En effet, il lisait les explications de son père laissées sur la carte. Elle était pleine de symboles, mais était griffonnée par le père de Gwennaall, avec une plume mal taillée, ce qui rendait le travail de lecture peu facile. Heureusement, Gwennall était un nain, ne sachant pas lire l'humain, il savait déchiffrer les lignes de runes naines, c'était l'apprentissage rudimentaire des nains. En terre de Fangh, le besoin de savoir lire n'était pas vraiment présent, mais il avait appris avec méthode, sous la direction d'un nain ermite, et avait terminé sa formation chez un hobbit (pitit clin d'œil).

"Puis passer à gauche de l'autel, et à droite de l'arbre biscornu..."

Ce nain ne s'était pas aperçu que, comme par hasard, son père avait caché son trésor dans la zone située ENTRE l'arbre biscornu ET l'autel...

"Ah ! J'ai trouvé ! Le coffre est juste ici, c'est marqué sur la carte... Entre l'autel et l'arbre biscornu, au croisement des deux chemins de terre..."

Sachant cela, nous nous dirons que ce n'est pas trop tôt ! Un nain qui sait lire, c'est louche, un nain qui lit mal, c'est normal, donc pas d'inquiétude...

CHAPITRE 9 : Dernier chapitre très court, pour le retour à Waldorg.

Des heures et des heures plus tard, il avait déterré la chose la plus horrible qu'il ait jamais vu. Cela ressemblait à une peau de bête à moitié coupée et qui sentait très mauvais. Le nain ouvrit la peau, découvrant le coffre mi-pourri mi-rouillé qu'avait laissé son père. Il essaya de forcer la serrure, sans succès. Il décida de retourner à la maison de son père pour en découvrir plus sur l'histoire mystérieuse qui entourait la vie de son père.

"Ahhhhh ! Enfin arrivé, je vais me reposer. La marche me tue...
- Et moi alors ? dit une voix s'élevant de la tombe, je suis pas mort ?
- Je crois que je vais aller me coucher... à la taverne de Waldorg... Il y aura bien un lit, ou une table, ou autre chose..."

Il continua donc sa marche, en disant au passage "adieu" à son père. Sur la tombe était posée une chope de bière, avec de l'eau dedans. Dans cette eau reposait un dentier, sur lequel était gravé :

"Mon fils Gwennaall m'a sauvé la mort..."

Gwenaal gagne 25 pièces d'or et 90 XPs !

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