Aden Ddu'r Fran sortant de son aventure chez les Kisspides continua son vagabondage.
Alors, se rendant dans les lieux où hurlent de désespoirs les âmes meurtries,
Il sentit soudain appeler de ses entrailles l'implorant, le fond de son oesophage.
Le nain choisit alors de se reposer alors qu'en effet le soleil de sa hauteur marquait midi...
L'immortel ouvrit alors les yeux et découvrit un paysage loin d'être qualifié de merveille.
En effet sa tête lourde lui avait fait oublier tombant dans le rêve la course du soleil,
La brume des lieux s'était par conséquent chargée de lui rappeler,
Qu'en ce territoire rien n'est sûr et que tous deux feraient mieux de s'en aller.
Par les blagues pourries de Keskonspwale, le nain rigola car ne craignant,
Ni la brume, ni la neige, ni froid, ni la pluie, ni la grêle et encore moins le vent,
Il jugea il était tout à fait capable qu'en ces lieux qui plus d'un en ont inquiété,
Il pouvait sans craintes mesurant sa force et son audace y pénétrer.
Long est le chemin qui mène à Lumière disent certains,
Long est le temps qu'il faut pour compter mon or vous dira le nain.
Quoique en ces terres isolées il ne viennent à personne l'idée sournoise,
De compter ses gains ou alors d'y cueillir des framboises.
C'est donc marchant au milieu d'une fange moisie et vermoulue,
Qu'Aden pénétra parmis les sangsues et les âmes perdues.
L'aigle par cet épais nuage se retrouvant dans l'impossibilité de voler librement,
Du regagner son perchoir situé sur le bras droit du nain découvrant,
Qu'il sétait fait, tournant en rond, encerlé par les marres des lieux maudits.
Gardant son sang froid il sauta là où il le pu parmis les esprits criant à l'agonie,
Puis courrant sans comprendre au hasard des intersections c'est à l'entrée d'un tunnel,
Que notre vagabond inquiet se retrouva sans rien n'y voir de ses simples prunelles.
Ohé !! Hurla-t-il dans ce corridor marqué comme tout ici de l'empreinte du douleur atroce,
Mais c'est en n'ayant que pour réponse le simple écho de sa voix,
Qu'il se résolu à y pénétrer changeant son oiseau de bras pour garder sa force.
De sa hache câlée dans son dos il était décidémment prêt pour n'importe quel minois,
Mais ce n'est que quand de sa torche juste allumée il éclaira le plafond,
Qu'un vol de chauves-souris plaqua le nain à terre qui se protégeant de son bâton,
Parvint à passer pour aller plus profond voir ce que ce tunnel mystérieux,
Avait à offrir à ceux qui arrivaient au bout, ceux que l'on nomme les valeureux.
Descentes et montées valonnaient ce couloir isolé de la vie extérieure,
Et c'est bravant les obstacles naturels qu'au le nain se retrouva en quelques heures.
Illuminant se sa source de lumière le décor environnant, il s'aperçu ébaït
Que sur les paroies de la cavernes le récit d'une bataille, de dessins était retranscrit.
T'el un explorateur Aden longea les murs s'impreignant des détails illustrés,
Et c'est alors qu'il compris que c'était la grande guerre du chaos qui était dessinée.
Mieux qu'un livre d'histoire mitteux ce souvenir expliqué petit à petit s'éclairait,
Le nain compris alors ce qu'en cours, jeune nain des montagnes il n'écoutait.
Sortit de ses rêves par un rayon solaire passant par une ouverture plafonnière,
Le Nain sortir sortit Tylwyth Teg de sa sieste lui ordonnant de gagner la Lumière,
L'aigle s'exécutant revint peut de temps après et pu guider son maître vers la sortie.
Aden retrouva l'air pur, il venait de vivre la journée la plus poétique de toute sa vie.