L'Encrier du Chaos
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L'Encrier du Chaos

Roleplay dans l'univers du Donjon de Naheulbeuk
 
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Le Calme et la Tempête


Voilà bien longtemps que les Aventuriers ont quitté la région. Le fracas des armes a cessé, la fureur et la poussière sont retombés, la soif de gloire et de richesses s'est tarie. Mais les lieux ne sont pas morts pour autant : il reste toujours le vieil aubergiste, là, courbé derrière son comptoir ; et je gage que si vous aviez la curiosité de lui adresser la parole, il pourrait vous conter de grandes choses du temps passé, et allumer en vous une étincelle dont vous ne soupçonniez pas l'existence...

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 Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ?

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Dremed

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MessageSujet: Re: Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ?   Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ? - Page 2 Icon_minitimeSam 31 Aoû - 23:07

Dremed se sentis quelque peu vexé par le fait d'être congédié, évidement il ne savait pas lire le menzzorien, mais pourquoi le virer alors que lui voulait en savoir plus? Peut-être que son aspect bourrin influençait sur l'opinion des autres personnes? Oui il était paladin du dieu de la violence, mais aussi de la stratégie et donc de l'information. Une question le taraudait depuis qu'il avait vu le livre et quoi que puisse dire l'alchimiste,  Dremed n'allait pas passer à côté e toutes les informations à disposition. D'ailleurs, une foule de question ne cessaient d'entrer dans les méandres de son esprit. Où le vieux avait il trouvé le bouquin? Savait il quoi que ce soit à propos du mage, niveau, domaine de prédilection tussatoussa... Et enfin, la question cruciale de sa vie:

"Dites, ce bouquin doit dater puisqu'il s'agit d'une langue parlait par les barbares qui dominat ces terres il y a plusieurs années de cela. Où avez vous put vous procurer un tel volume?"

Il enchaina dans ses question sans vraiment laisser le temps au vieux d'en placer une:

"Vous savez quoi à propos du mage qui a envoyé ce fléau à votre village? Niveau, domaine de magie particulier, s'il est vraiment dangereux ou pas?

Puis vint l'ultime question déterminante de sa vie, celle qui n'avait pas pour réponse 42, mais qui allait devenir dans quelque seconde un grand moment de stresse pour le paladin, un de ces moments qui vous donne froid dans le dos, où vous vous croyez espionner par une force visible que vous penseriez invisible parce que vous être visible et elle non, à moins que ce ne soit l'inverse et que l'invisible soit visible mais que nous ne soyons trop visible ou aveugle pour le voir. Mis bien que ces pensées incessantes ne pouvait qu'énerver un lecteur s'arrachant les cheveux sur son tabouret avec des doigts plein de graisse de chips et d'autres aliments déconseillés aux personnes qui ont de la salade coincée entre les ongles à force de s'arracher les cheveux susnommés. C'était quoi la question déjà? Vous voyez que c'est agaçant les voix off qui raconte n'importe quoi vers une heure du mat qui font.....
Tandis que nous récupérons le pavés lancé par un mec encapuchonné et vêtue de noir qui essaye tant bien que mal de se concentrer pour lire un livre vieux de deux cents ans avec une recette annulant les effets d'une maladie blablaba, la suite, au prochaine épisode. Heing? Mais ça part trop en sucette là balancez la question qu'on en finisse avec tout ça.

Bref, après un pavés lancé sur les voix off, Dremed put reprendre le cours de ses pensées et demander enfin:


"Vous pourriez me mettre un sucre dans le thé?"

Ainsi se pendirent trois voix off, pour avoir fait passer ça pour une question complètement épique qui tue son poney en boudin et pour avoir facilité le transit intestinal de plusieurs personnes.

Toujours est-il que le paladin fut tout de même congédié et se retenue de pester contre leur hôte peu accueillant. Cependant, il se réconforta en allant trouver le semi-orque pour blaguer un eu de manière très guerrière. Dremed se souvint alors qu'une tête de nain pendant à sa ceinture derrière lui et qu'il lui faudrait vraiment passer à sa maison pour déposer ce crâne. en effet, il avait commencé une construction de crâne dans sa baraque et y avait déjà entreposé deux trophées littéralement arraché à leur propriétaire. L'un était une tête d'ogre, le second celle d'un chef orque. Il était assez fière de sa réussite pour l'instant car peu d'aventurier pouvait se venter d'avoir ainsi combattu et survécu face à un ogre et un chef peau-verte. Repensant à ces histoire il vint à compter à son compagnon d'arme ses quelques missions:


"tu sais Vrolg, ma première mission s'est faite aux côtés d'un nain et d'un mage humain, on a affronté comme premiers ennemis des gobelins et des araignées géantes qui avaient pris un groupe de mineur en otage. Ensuite on s'est quitté en assez bon termes. Puis j'ai reçut une mission pour me rendre dans un petit village afin de massacrer un groupe d'orque semant la pagaille prêt du village. J'ai rien contre les peaux-vertes, mais faut bien vivre. Lorsque je suis arrivé j'ai entrainer moins d'une poignée de personne au combat et on est allé se faire un ogre qui pouvait nous causer problème. Ensuite on a fracassé les orques et on m'a offert une baraque avec pépère et une prime en pièces d'or. Et finalement je me retrouve ici avec vous, une troisième tête à ma ceinture et un clebs à mes pieds."

Il marqua une pause et caressa le chien qui les avait pendant tout ce temps là suivit fidèlement. Il était si discret qu'il avait presque finit par l'oublier. M'enfin, c'était un bon chien et il pourrait même se montrer utile plus tard. Après tout, un animal était dotait de certaines qualités, l'instinct pouvait faire en sorte que l'animal flaire le danger ou quelque chose de louche et les en avertir par des grognements. Et si l'animal pouvait devenir plus fort, pourquoi ne pas en faire un chien de guerre. Il regarda fixement l'animal qui commença à se lécher une partie de son anatomie que nous ne citerons pas pour préserver les plus jeunes d'une quelconque influence néfaste. Devant cette vision le paladin se plaqua une main sur le front en pensant que cela prendrait beaucoup de temps avant d'en faire un animal de combat.

Il fut une question qui vint à l'esprit du jeune homme, une de ces questions qui fait vibrer la terre qui... Ha non ! Tu recommence pas !... Bon d'accord... En plus tu es suicidé normalement... Ben toi aussi... Bon d'accord, mis reprend ton histoire et tache d'être bref, et arrête avec ces trois petits points !
Nianiania. Bon, toujours étant que Dremed voulait poser une question à son ami verdâtre.


"Vrolg? Tu as déjà réfléchis  un nom de compagnie ou tu pense qu'on devrait se séparer pour continuer chacun de son côté? Pace que là on est quand même une bonne équipe !"

Le paladin afficha un air ravis à Vrolg et lui fit un sourire amical en ponctuant sa dernier phrase par une claque dans le dos. Conscient de son erreur, il se prépara soudain à recevoir ne violente remonté de son thorax lorsque la claque de son ami viendrait lui exploser dans sa colonne vertébrale.
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Vrolg
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MessageSujet: Re: Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ?   Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ? - Page 2 Icon_minitimeDim 1 Sep - 15:50

Derrière le chaos qu'avait déclenché le Demi-orc, l'érudit s'empressa de ramasser les livres renversés, non sans invoquer sous l'emprise de la colère les tentacules de Gzor, puis, craintif, espérant qu'il n'ai jamais à s'y frotter, quand le paladin du Dieu duquel ce génie du Mal fut le lieutenant le noya de questions embarrassantes, mais bien assez intellectuelles pour nécessiter une réponse, si ce n'était celle du sucre.

"Pour être plus précis, ce manuscrit remonte au troisième jour de la décade de Zaralbak de l'an 751 du premier âge ... ce qui remonte à un peu moins de deux mille trois cent ans maintenant. Et les "barbares" dont vous parlez, les Menzzoriens, ont inventé bon nombre de d'objets et de concepts encore usités de nos jours, et qui apparaissent aux yeux de la grande majorité des Fanghiens comme des choses très modernes. Je me demande d'ailleurs qui, de nos contemporains ou bien de nos ancêtres, devraient porter ce titre impropre de "barbare" ..."

Puis, se grattant la caboche, le visage s'empourprant légèrement, il bafouilla quelque peu.

"J ... je dois avouer que ... oh, tous les étudiants doivent le faire, ce qui ne rend pas le geste moins préjudiciable ... Je dois avouer que durant mon instruction, il m'a prit l'envie d'apprendre le Menzzorien, et c'est en farfouillant dans la bibliothèque du collège où je me formais à l'herboristerie et à l'art d'élaborer onguents, baumes et potions que je l'ai trouvé. Peu conscient de la rareté et de l'importance de ce manuscrit, il m'a servit durant quelques années en temps que livre de chevet, bien que jusqu'alors je ne me sois attardé que sur la préface. Et puis ... vous savez peut-être comment cela se passe, on le range en attendant, et en un rien de temps on oublie son existence, et le fait qu'on doive le rendre avant de quitter les lieux."

Rajoutant du sucre dans le thé de Dremed, l'alchimiste tourna son regard vers l'antique ouvrage, que le Sorcier de Tzinntch feuilletait avec fièvre, pour quelque raison que ce soit.

"Cependant, lorsque les gens commencèrent à tomber malade, je me suis trouvé dans l'incapacité de trouver un remède, et pire encore, à identifier la maladie qui les frappaient. Pourtant, tout n'avait commencé que par une légère fièvre, que ce satané Sorcier avait dit pouvoir soigner, et par la suite cela a empiré ... Ce n'est que ce matin que j'ai repensé à ce livre, car de ce que j'avais pu comprendre, il s'agissait d'un descriptif d'une très ancienne maladie, qui avait fait de nombreux ravages autrefois, avant de disparaître, et j'espérait un peu qu'il s'agisse de celle-là même qui a plongé le village dans le chaos le plus total."

Contemplant l'Elfe Noir un instant, le vieillard fit volte face et invita finalement le grand curieux à quitter la pièce, prétextant que la lecture d'un tel fascicule demandait beaucoup de calme et de concentration, de par la complexité de l'usage de la langue.

Par dépit, le maître de Pépère, accompagné de celui-ci, rejoignit Vrolg, qui s'était affalé contre l'un des murs d'une petite pièce des plus vides, et qui aiguisait son arme avec amour, dans un bruit de tintement métallique significatif d'un tel entretient.

Ce dernier écouta attentivement son nouveau camarade de baston, tout en grignotant un biscuit ou deux (en même temps) et resta un moment silencieux face à la question de l'humain qui venait de lui faire une tape dans le dos.

"Bah j'sais pô ... J'aime bien Zaeseth, même que si que c'est un Sorcier. Ça va faire ... un moment qu'je traîne avec lui et c'est deviendu un vrai pote. Toi t'as pas l'air ... euh, comment qu'on dit déjà ? T'es sympa, quoi, alors j'vois pas pourquoi qu'on se bouderait."

Enfournant un des sablés dans la gueule du chien galeux, puis le caressant avec une délicatesse paradoxale pour une peau verte, le mercenaire continua.

"Et puis y a Pépère aussi ! Bah, forcément c'est pas un animal de compagnie pour bourgeois, quoi, mais de toute façon, qu'on n'en est pas, des bourgeois ! Et pis l'est gentil le Pépère. Ce serait bête qu'on foute tout ça en l'air ..."

Biberonnant allègrement à la gourde pour s'hydrater après avoir autant parlé, puis proposant de son vin au paladin, il reprit.

"Par contre, pour le nom de la compagnie, c'est que qu'j'y avais pas pensé ... Mais c'est pas bien grave, on trouvera bien, si que y en faut un. Doit y avoir un truc qui nous représente bien ..."

Commençant à avoir mal à la tête à force de réfléchir, le bourrin se mit à siffloter, avant que Philippe ne monte, au bord de la crise de nerf, et ne ferme la porte de la pièce à la volée.

"Ben quoi ?! On n'a rien fait de mal, non ?"

Posant sa hache d'armes sur le plancher, regardant la lumière du jour provenant de la fenêtre de la pièce, le sang-mêlé se révéla tout d'un coup bien moins joyeux.

"Là où que je suis né, ça me manque ..."

Se tournant vers le fidèle du Dieu du sang, le dévisageant d'un air étrangement sagace, pour un Demi-orc, il soupira, se grattant la nuque, comme il le faisait souvent face à un problème ou à une information incompréhensible.

"Bon, j'y prenais pas mal de gnons, surtout pasque j'étais pas entièrement Orc, mais aussi pasque là bas c'est normal d'en donner et d'en recevoir ... mais c'était l'bon vieux temps. Les pillages, les gueuletons, tout ce que qui fait plaisir quand qu'on n'est pas civi ... civilisé, quoi ..."

Le regard emplit de rancœur et de nostalgie, il frôla le manche de son arme de destruction massive.

"Et pis je forgeait pas mal avant, ça fait trop longtemps que j'ai pô pris un marteau et que j'ai pô cogné sur du fer rouge. Ici personne veut que je touche à ça ... Y z'ont ptet peur que je casse des machins."

Puis il changea de sujet de conversation.

"Comment que ça t'es viendu, l'idée de paladiner pour Khornettoh ?"
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Dremed

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MessageSujet: Re: Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ?   Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ? - Page 2 Icon_minitimeDim 1 Sep - 18:39

Le paladin découvrait peu à peu non plus une créature, mais un individus, une personne portant en son cœur des sentiments tout à fait humain. Il avait toujours vu Vrolg comme une machine à tuer et à rire, voir à manger. Mais les présents sentiments qui émergeaient de l'orc semblaient parfaitement humain
. Vous me direz, pour un paladin du dieu du sang, des tripes et du massacre en bonne et due forme de base, cette découverte l'aurait certainement fait rire, mais pour Dremed, qui devait lutter continuellement pour garder son humanité, s'était un magnifique moment de découverte.


*Ouais ben lui roule pas une pelle non plus !

Remplaçant son air admiratif pour revenir à un air plus maussade, le paladin en vint à devoir à nouveau discuter avec la même créature qui risquait de le priver de son humanité.

*Que de profondeur dans tes pensées, ça me fait tout simplement gerber.*

<je t'ai pas demandé ton avis et puis tu as pas es trucs à faire...>

*Ben...*

<Voilà alors: POUPOUGNE!>

Il trouvait de plus en plus dérangeant le fait que le démon puisse lui parler librement à présent. Cela faisait un petit moment que ce phénomène avait commençait et le paladin n'en pouvait déjà plus. La nuit il ne rêvait que de massacre et d'horreur sans nom, qui d'un côté ne le dérangeait pas plus que ça étant donné qu'il faut l'avouer, il aimait ça, le sang les tripes et les os brisés s'était sympa pour lui, mais le détails embêtant résidait plus au moment du réveil lorsqu'il avait le gout du sang dans la bouche et une sérieuse envie de goûter à la chair humaine, même Vrolg lui paraissait appétissant dans ces moments là.

Toujours étant, ce n'était pas avec ce genre d'idée qu'ils allaient arriver à quelque chose. Puis il jeta un coup d’œil au paysan qui était avec eux, la voix se fit à nouveau entendre:

*Vas y, tue le, il ne manquera à personne. Ce n'est pas un petit paysan de rien du tout qui va t'opposer une résistance bien farouche hein? Allez, tu en meurt d'envie, quoi que si tu pouvais mourir réellement ça m'arrangerait bien. M'enfin... Laisse moi faire, ça ira plus vite.*

Ne réussissant pas à lutter plus longtemps, le paladin afficha un sourire carnassier et se leva dans la direction du jeune homme. D'un pas lent mais décidé, le corps de Dremed avançait. Sa langue passa sur ses lèvres, preuve de la faim féroce du personnage. Il n'était plus qu'à quelques pas de l'individus lorsqu'une voix l'interpella.
Non, pas une voix, un autre être présent dans la pièce, un être musculeux et entièrement vert. Voilà qui ferait un magnifique combat.
L'effet d'emprise cessa soudainement et le corps à nouveau possédé par son propriétaire légitime fut pris de vertige. Le paladin alla vite se rasseoir, tachant de paraître le plus naturel possible. Sa conscience avait percé la présence du démon et maintenant libre de ses mouvements, il put répondre à son camarade:

"Je n'ai pas vraiment choisis cette voie, disons plutôt que c'est de famille. Mon père était paladin de Khornettho et souhaitait perpétrer la tradition familiale. J'ai aussi un oncle et un cousin qui se sont plutôt lancé vers une carrière d'assassin qui prient le dieu du sang. Bref, on m'y a poussé, j'ai était discipliné, mais pas assez, bien heureusement pour moi. Maintenant je tente de prier Khornettho tout en essayant de ne pas me faire attraper par les membres de son culte sinon ils libéreront celui qui est en moi."

Il avait taché de murmurer sa dernière phrase pour éviter au paysan de prendre peur. M'enfin, à présent il se sentait plus en confiance avec le bourrin du groupe. Il commençait à apprécier, difficilement, la présence du sorcier, mais il l'appréciait quand même. Finalement, malgré leur différence ce groupe parvenait à maintenir un ordre semblant tout de même assez solide. Il fallait absolument trouver un nom avant la fin de cette aventure, et si possible quelque chose de classe et qui puisse les mettre en avant afin d'obtenir des contrats plus facilement. Une proposition lui vint instinctivement:

"Pour un nom de compagnie, pourquoi pas les chiens de guerre? Bon, par rapport à pépére faudra trouver un truc pour le rendre plus agressif, mais sinon ça pourrait le faire."

Il afficha un sourire quelque peu sinistre, ses pensées le conduisaient vers des idées de souffrance, de haine et de terreur; Finalement, s'était pas si mal d'avoir un esprit démoniaque cohabitant avec son âme.
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Vrolg
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MessageSujet: Re: Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ?   Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ? - Page 2 Icon_minitimeJeu 5 Sep - 15:08

L'espace d'un instant, le géant vert se demanda sérieusement ce que fichait le Paladin, avec son sourire mauvais et son marteau en main, à se rapprocher de Tom, qui était monté les rejoindre, quand il s'aperçut qu'une mouche trônait sur son pif. Cela faisait des décennies que le Demi-orc passait outre l'envie de toutes les écraser, sachant qu'il avait tendance à se faire un peu mal sur les rochers, sans pourtant réussir à en tuer, ce qui expliquait le fait que de devoir pourrir des petites bêtes avait pour lui un côté rébarbatif, alors que pour un sanglier ou bien un ours, il n'y avait pas trop besoin de savoir viser ...

L'idée que le coup qui allait lui être porté pouvait démonter la figure au jeune homme ne lui effleura qu'à peine l'esprit – qui lui aussi, de par sa petitesse, était difficile à viser – mais la poussière commençant à avoir raison de son propre nez, il éternua alors bruyamment. La bestiole ayant visiblement disparue à cause du vacarme, "Wald" retourna s'asseoir, l'air des plus anodins (un air anodin, ce n'est pas un air passe-partout, sinon on dirait un air de gredin ou de cambri-hobbit, et ni un air insipide, bien que le Paladin soit un Humain, peuple composé à 75% de paysans ou bien de pêcheurs [autant dire que cette race surpassait celle des Nains dans la proportion d'individus travaillant dans le secteur primaire, les petits barbus snobant l'agriculture et la nature pour se contenter des activités minières, bien plus lucratives], mais plus un air "mine que rien"), qui devait cacher une grande frustration, peut-être parce que chez lui le tuage de mouche était encore un hobby des plus prenants.

Écoutant parler de la filiation de son compagnon, Vrolg tenta un amalgame (ce qui selon son jet de dé est une réussite critique) entre l'héritage de Khornettoh comme dieu titulaire chez ce premier, et la foi en Crôm chez les Barbares en général et chez les Orcs de son ancienne tribu, les Bhoojy Wahhopz. Peut-être qu'il en était ainsi pour tout le panthéon Fanghien, avec des lignées priant Picrate de père en fils, d'autres qui faisaient la sieste en famille pour vénérer Dlul, et ainsi de suite. Ainsi, Zaeseth devait aussi avoir de la famille dans les rangs des Sorciers de Tzinntch ... et peut-être que sa môman à lui était alors une Barbare ... Dans un sens ce serait rassurant, car malgré la ressemblance assez légère entre les pignoufs de la race de Dremed et le peuple d'origine Moriaque ... ou Cardiaque, c'était plus cool de penser qu'il n'avait pas vraiment de sang de cultivateur de betteraves dans les veines. Vint alors une information délicate, qui mit fin à ses hypothèses quant à sa demi-origine non-orque, à savoir une proposition de nom de compagnie ...

"Euh, les Chiens de Guerre ? Bah ouais, c'est sympa ... mais je vois pas trop le rapport avec not' Mage ..."

Cela dit, Dremed, se faisant appeler Waldemar Von Ark, pouvait bien être représenté par le mot "chien", car il en avait un, le mot "guerre" allait comme un gant à Vrolg, mais ils allaient pas laisser "de" au Sorcier quand-même !

"Sinon ... Euh ... Y a ..."

Ne subsista de la proposition du Demi-orc qu'un long silence gêné, le cervelet du mercenaire devant avoir planté, et le temps de remise en route étant particulièrement long. Finalement, il réussit à nouveau à parler.

"... j'crois qu'j'ai oublié ..."

Se grattant la tête, avant de s'adosser au mur, le guerrier renifla, l'air pensif, avant de boire une nouvelle gorgée de vin, s'essuyant la bouche d'un revers de bras.

"De toute façon, j'pense pas être bien motivé pour trouver un nom. C'est ptet' l'odeur du "kipu" qui m'distrait ..."

Ça, pour distraire, la puanteur des rues brûlait les narines de tout être normalement constitué en un rien de temps, faisant passer le parfum musqué de Vrolg pour un pet d'agneau dans une bergerie. D'ailleurs, seuls le vieux clébard et la peau verte semblaient s'en accommoder, le peu de vapeur étant entré dans la maison déconcertait, au mieux.

"Y avait pas de bestiaux crevés dehors, pourtant ..."
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Zaeseth Helimond

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MessageSujet: Re: Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ?   Ruines qui sentent des pieds, mythe ou réalité ? - Page 2 Icon_minitimeSam 26 Oct - 19:01

Zaeseth accepta avec plaisir la tasse de thé proposée par le vieil herboriste, enfin un peu de raffinement dans ce monde de brutes ! C'était qu'avec Vrolg et Waldemar, l'ambiance culinaire s'apparentait plus à une fête de village : binouze et saucisson à volonté. L'elfe gris ne crachait pas sur le côté convivial de la chose, mais il fallait aimer manger de la charcuterie au petit-déjeuner, c'est-à-dire en quelque sorte, être un demi-orc. A cet instant, Vrolg qui tentait de monter à l'étage en zigzaguant entre les piles de livres, ce qui vu sa corpulence n'était pas vraiment aisé, en renversa une, provoquant une véritable explosion de poussière dans toute la pièce. Le mage noir s'étonna des facultés extrasensorielles latentes du demi-orc et préféra donc ne pas en dire plus, ou plutôt, ne pas en penser plus.

Le sorcier dégagea un espace sur une des tables afin d'y poser l'antique ouvrage puisqu'il avait encore les bras légèrement chancelants depuis l'histoire de la porte. Il s'attaqua - car il faut bien parler d'attaque dans notre cas - au déchiffrement des ô combien tarabiscotées et peu claires phrases que les copistes menzorriens savaient si bien débiter par pages entières sur les sujets les plus divers, y compris les plus simples. Lire un ouvrage menzorrien, quel qu’il soit, c'était mener une réflexion profonde sur le sens de la vie (et parfois même de la mort), mais d'une façon si tortueuse qu'à la fin de votre lecture, vous pouviez très bien être persuadé du rôle majeur qu'on les additions de nombres premiers sur la reproduction des sardines en boîtes durant le quatrième tiers de la Décade des Moissons Anticipées.

Le premier paragraphe mis une petite demi-heure à être décrypté. Mis à part son rôle de présentation, ce dernier constituait en fait un éloge implicite du copiste à lui-même. En clair, sans lui, rien n'aurait été possible, voyez-vous même :

Spoiler:
Nonobstant le fait que son auditoire invisible l'avait sûrement compris aussi bien que lui (n'est-ce pas ?), Zaeseth réalisa quand même un rapide résumé de ce premier paragraphe, afin de pouvoir faire un rapport aux diverses personnes présentes dans la demeure de l'herboriste. Le manuscrit avait été écrit il y a fort longtemps par un copiste Menzorrien dans le but de rapporter le témoignage d'un vénérable mage spécialisé en thermodynamique, qui avait, par le plus grand des hasards, découvert une nouvelle maladie (ou du moins son mode d'élaboration).

La suite du texte s'annonçait plus ardue. Êmikraníon, la divinité du mal de tête, pointait le bout de son nez. La lutte fut âpre, de tous les instants. A chaque fois que Zaeseth se lançait à l'assaut d'une phrase, le sens des mots battait en retraite derrière la muraille infranchissable du remplissage de lignes. Point de point dans ces phrases, ou très peu, seulement des virgules, beaucoup de virgules. Du remplissage ? En veux-tu en voilà : les douves en étaient pleines. Tel un équilibriste sur son fil, ce remplissage demeurait à chaque instant à la limite de tomber dans la fosse du non-sens. Cette intense bataille se termina au bout de 2 heures, 31 minutes et 17 secondes, les phrases étaient à nu, leur sens gisait en flaques qui brillaient sous la clarté du doux soleil de la compréhension. L'armée de la connaissance était victorieuse, le menzorrien capitulait.

La maladie en question trouvait sa source aux pieds d'un volcan en éruption. Cette particularité géologique était la clé de tout, rien n'était possible sans elle. Par la suite, le processus de création est complexe, plusieurs étapes s'enchainaient, plus ou moins faciles à réaliser. Tout d'abord, en lien avec la première condition, la genèse de ce mal nécessitait une petite marre d'eau croupie sur un sol composé de roches volcaniques. Ce point était explicite, le suivant l'était en revanche un peu moins. En effet, une plante particulière devait être présente et s'abreuver de ladite eau. Pas un mot sur l'espèce de ce végétal, l'herboriste en saurait peut être en peu plus. Enfin, il fallait qu'une mage du sexe faible, montée sur un balai volant, ait un petit accident digestif juste au dessus du point d'eau, pour que l'eau se mélange au sang et aux matières fécales. Déjà que le talent du genre en question demeurait universellement reconnu par tous les spécialises (hommes) de bonnes volontés comme étant plus que douteux, alors pour qu'une sorcière ait un accident de ce genre au dessus d'une marre sans avoir d'accident tout court avant, c'était assez dur à concevoir. Trêve de ma(so/t)chisme littéraire, un détail restait à préciser, son nom : la Bufonide Fétide.

Enfin, dernier détail, n'allons pas trop vite en besogne. Un texte menzorrien, en dépit du remplissage, fourmillait de détail en tout genre, plus ou moins utiles, il faut le concéder. La fin de l'extrait traitait du temps d'incubation et des différents effets qui pouvaient en résulter sur les infectés. « Un peu moins d’une période composée d’un tiers de transition de l’astre nocturne d’une intégralité à une autre, suite à sa progressive, mais non définitive, disparition, soit la grande partie d’une décade », c'est-à-dire dix jours (eh oui), suffisait pour voir apparaître les premiers symptômes, qui consistaient peu ou prou à une gastro sinu entérite au cube, puisque les vomissements s'accompagnaient de l'apparition de pustules, ce qui n'aidait pas vraiment si vous aviez un rendez-vous avec une belle dans la soirée.

Finalement, ultime conclusion, le copiste évoquait la vocation de la maladie à provoquer de façon univoque une dépendance qui pousse les malades à vouloir gober des mouches ; et non des mouches à gober les malades, ce qui, il fallait l'avouer, aurait été plutôt cocasse.

Le mage noir se leva, les jambes en compote (de pommes ? dixit Zarakaï ). Le vieux fauteuil en cuir lui avait au moins épargné un mal de fesses carabiné. L'herboriste, assoupi dans une réplique du fauteuil de Zaeseth, ronflait doucement. Plutôt que de le réveiller, le mage noir préférait d'abord raconter tout ce qu'il avait pu découvrir à ces deux camarades qui devait sérieusement s'ennuyer, si ce n'est dormir, à l'étage depuis deux heures. Les marches de l'escalier, en grinçant, composaient une mélodie sinistre, comme un signe annonciateur du maelström de confusion qui allait bientôt éclater dans le crâne du demi-orc quand Zaeseth ferait son rapport.
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